Une maison-terrain de basketball
Les architectes de Koizumi Sekkei ont conçu une maison familiale autour d'un immense terrain de basketball intérieur.
Photo de Toshiyuki Yano
Basketball Court House, littéralement “maison-terrain de basket” est une bâtisse minimaliste située dans la ville de Shizuoka, au sud du Mont Fuji. Conçue en 2015 par les architectes de Koizumi Sekkei, elle s’étend sur une superficie de 132 m2. En regardant la façade, impossible d’imaginer que derrière ses portes se trouve une maison entièrement construite autour d’un terrain de basketball indoor.
Un agencement inspiré des gymnases
Les architectes souhaitaient créer une relation inédite entre la pratique du basketball indoor et une forme d’habitat plus traditionnelle. En s’inspirant de l’agencement des gymnases, ils ont donné naissance à ce lieu unique.
Le salon, les chambres et les autres espaces de vie gravitent autour du terrain central. Véritable poumon de la construction, celui-ci est également conçu dans un esprit de polyvalence, avec la possibilité de se transformer en bibliothèque. Une maison de futurs champions.
Basketball Court House (2015), un projet réalisé par les architectes de Koizumi Sekkei à retrouver sur leur site internet.
Photo de Toshiyuki Yano
Photo de Toshiyuki Yano
Photo de Toshiyuki Yano
LES PLUS POPULAIRES
-
Exploration de l'intime dans “The Sound of Water” à visionner en ligne
Ce film de J.B. Braud met à nu les émotions les plus profondes, à travers le prisme de la trahison, de la fuite et de la rédemption.
-
AD CULTUREUn nouveau voyage à Hyogo en immersion dans la littérature et la cuisine occidentale
Kinosaki Onsen a beaucoup inspiré les écrivains, alors que les anciens restaurants occidentaux de Kobe évoquent des saveurs du passé.
-
Akira Kurosawa, derrière le réalisateur, le peintre
Celui qui est considéré comme un des plus grands cinéastes japonais du XXème siècle était aussi un dessinateur marqué par l’expressionnisme.
-
Les visions grotesques du bouddhisme de Shintaro Kago
Dans la série “Mandalism”, cet artiste renommé d'“ero-guro” livre une interprétation viscérale et répugnante de motifs bouddhiques.
-
Namio Harukawa, maître du dessin SM
“Garden of Domina” offre une plongée dans l’univers d'une icône de l'“oshiri”, dont l’œuvre a aujourd’hui atteint le monde entier.