Des histoires reliant passé et présent, dans une série de courts-métrages pour GANZO
Les objets de la marque de cuir y sont mis en scène accompagnant la vie de leur propriétaire et lui rappelant de puissants souvenirs.
© GANZO
En vieillissant aux côtés de la personnalité de son propriétaire, un objet devient une pièce unique et irremplaçable. C’est cette idée que la marque de cuir GANZO a mise en scène dans une série de courts-métrages. L’amour romantique, les récits tissés entre amis et en famille laissent des traces dont les objets en cuir ravivent le souvenir.
GANZO, une marque de produits en cuir, ne fait aucun compromis dans sa recherche de l’authenticité, de la sélection de cuirs de qualité tels que le Cordovan et le Bridle Leather, jusqu’aux différentes étapes de la tannerie, de la coupe, du lissage, de la couture à la finition. Les produits ainsi créés, outre leur beauté lorsqu’on les touche pour la première fois, atteignent leur ultime perfection après des années d’utilisation, révélant les marques du temps et de l’usage.
Dans une série de courts-métrages intitulée life is timeless, GANZO met en scène l’identité de la marque — le pouvoir du vieillissement. Les cicatrices et les plis qui apparaissent sur les produits au fil du temps sont les traces d’une vie riche en souvenirs, chaque personne exprimant ces marques à sa manière.
« Les souvenirs sont silencieux et fluides, » explique le réalisateur J.B. Braud. « L’idée de ce film est née de la nature tranquille et fluide des souvenirs. On se souvient soudainement de moments merveilleux du passé. Cela façonne le présent et on réalise comment ces souvenirs gagnent en charme avec le temps. On pourrait dire que le film dépeint le moment où l’on fait face à son passé, où on le questionne. Ces moments cheminent avec nous depuis longtemps, et ils nous rappellent ce qui a vieilli en nous. » À travers trois épisodes mettant en scène des relations différentes — entre amoureux, amis, et parents-enfants — la série décrit le rapport particulier des hommes au cuir.
Le premier chapitre, “THE LOVE BOND,” commence par un homme regardant distraitement l’intérieur de son portefeuille et découvrant une photo d’un amour du passé. En levant les yeux, il revoit le moment où son aimée avait joyeusement glissé son portrait dans le portefeuille.
Le deuxième chapitre, “THE FAMILY BOND,” débute avec un homme d’âge moyen tenant un carnet usé. En feuilletant les pages, il découvre des dessins faits par son fils enfant, surveillé avec tendresse par son moi plus jeune.
Le troisième chapitre, “THE FRIEND BOND,” montre un homme qui retrouve un sac à dos de sa jeunesse. Il se souvient alors immédiatement du moment où il en avait fait l’acquisition, en préparation d’un voyage avec un ami, les deux chargeant le bagage avec excitation.
Des mouvements inopinés tels ceux d’un carillon, d’une cuillère dans un verre ou du clignotement d’une lampe rappellent l’ambiguïté des souvenirs qui ne sont pas liés par le temps. A mi-chemin entre passé et futur, chaque film dépeint un moment de confrontation avec soi-même. Chacun des épisodes capture des moments de bonheur, apparemment insignifiants dans la vie, mettant en scène le présent et le passé de la personne, ainsi que les produits en cuir dans leur état vieilli et neuf.
©︎ Craig Mod
Profil du réalisateur
J.B. Braud est originaire de Paris, France. Après des débuts à la chaîne de télévision Canal+ en France, il devient réalisateur. Ses courts-métrages en coproduction franco-japonaise, In the Still Night et The Sound of Water, ont été sélectionnés dans de nombreux festivals de cinéma internationaux. Récemment, il a travaillé sur des campagnes publicitaires telles que Le Peintre pour Apple et le film de marque Tiny Christmas de Coca-Cola (lauréat des Cannes Lions Awards 2023).
Plus d’informations sur le site officiel de la marque.
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