Ode au Japon version Instagram
Le photographe Hiro Goto s’est donné une mission, qu’il remplit assidûment : partager la beauté de son pays sur les réseaux sociaux.

© Hiro Goto
Depuis la création de son compte Instagram en janvier 2016, le photographe Hiro Goto a posté plus de mille photos de son pays — et prend pour sujet principal Tokyo, où il réside.
On (re)découvre, à travers son compte, la capitale japonaise au fil des saisons : ses néons, la densité de ses rues, son métro, ses couleurs d’automne ou ses cerisiers en fleurs. Mais Hiro Goto s’éloigne aussi de la ville et offre à ses abonnés, au gré de ses voyages, des images moins connues et encore plus poétiques, comme l’un des ponts de la ligne de train Tadami recouvert par la neige, les chutes d’eau d’Oshiraji, un cygne seul devant le Mont Fuji ou encore les singes des neiges du parc de Jigokudani. Hiro Goto propose ainsi une ode photographique au Japon, et une source de rêveries quasi intarissable pour tous les amoureux de ce pays.
Les photographies de Hiro Goto sont à retrouver sur son compte Instagram.

© Hiro Goto

© Hiro Goto

© Hiro Goto

© Hiro Goto

© Hiro Goto
LES PLUS POPULAIRES
-
« C’est un plaisir sincère que mes objets soient reconnus comme appartenant au cercle du Mingei »
Les couverts de laiton soigneusement façonnés par Ruka Kikuchi dans son atelier de Setouchi sont appréciés dans tout le Japon et ailleurs.
-
« Le Mingei reste toujours insaisissable, cent ans après sa naissance »
Sō Sakamoto est un potier d’Onta-yaki, une forme de céramique datant du XVIIIe siècle mise en avant par Sōetsu Yanagi, fondateur du Mingei.
-
« On dit souvent qu’il faut apprendre de ses échecs… mais est-ce vraiment si simple ? »
Dans “Guide de survie en société d'un anti-conformiste”, l'auteur Satoshi Ogawa partage ses stratégies pour affronter le quotidien.
-
Du Japon vers le monde, des photographes appelés à s’imposer à l’international
Le T3 PHOTO FESTIVAL 2025 expose cinq photographes japonais émergents et confirmés, afin de soutenir leur rayonnement à l’étranger.
-
“Le Japon interdit”, l'oeil d’Irina Ionesco
Dans cet ouvrage, la photographe va au plus près des corps, révélant ceux, tatoués, de “yakuza” ou celui, érotisé, d'une artiste underground.



