Les mystères de Perl
On a aperçu Perl à Tokyo, proche du rappeur Orelsan, du producteur Vladimir Cauchemar ou encore du chanteur Eddy de Preto. Et pourtant, elle n'est pas réelle.

@perl.www / @orelsan
Son nom : Perl. Sa profession : mannequin et influenceuse virtuelle. Eh oui, Perl n’est pas humaine mais une image générée par ordinateur. Pourtant, à la voir s’afficher sur Instagram, cheveux blonds peroxydés au carré, dans des tenues streetwear et posant à côté de ses amis comme n’importe quelle jeune femme des années 2020, les limites entre réel et virtuel se brouillent.
Alors qui est réellement Perl ? Peu de choses filtrent sur cette créature numérique, si ce n’est qu’elle est née le 30 avril sur Instagram que ses premiers posts étaient géolocalisés à Tokyo et qu’elle a une relation particulière avec la France. Suivie par près de 10 000 personnes, Perl fascine et notamment les artistes. On l’a vu poser aux côtés du rappeur Oreslan ou du producteur masque Vladimir Cauchemar.
Le quotidien de Perl est à suivre sur son compte Instagram.

@perl.www / @orelsan

@perl.www / @orelsan

@perl.www / @orelsan
LES PLUS POPULAIRES
-
« C’est un plaisir sincère que mes objets soient reconnus comme appartenant au cercle du Mingei »
Les couverts de laiton soigneusement façonnés par Ruka Kikuchi dans son atelier de Setouchi sont appréciés dans tout le Japon et ailleurs.
-
« Le Mingei reste toujours insaisissable, cent ans après sa naissance »
Sō Sakamoto est un potier d’Onta-yaki, une forme de céramique datant du XVIIIe siècle mise en avant par Sōetsu Yanagi, fondateur du Mingei.
-
« On dit souvent qu’il faut apprendre de ses échecs… mais est-ce vraiment si simple ? »
Dans “Guide de survie en société d'un anti-conformiste”, l'auteur Satoshi Ogawa partage ses stratégies pour affronter le quotidien.
-
Du Japon vers le monde, des photographes appelés à s’imposer à l’international
Le T3 PHOTO FESTIVAL 2025 expose cinq photographes japonais émergents et confirmés, afin de soutenir leur rayonnement à l’étranger.
-
“Le Japon interdit”, l'oeil d’Irina Ionesco
Dans cet ouvrage, la photographe va au plus près des corps, révélant ceux, tatoués, de “yakuza” ou celui, érotisé, d'une artiste underground.



