À Vancouver, Saku ravit les adeptes de “tonkatsu”
View this post on Instagram
Sur la côte ouest du Canada, à Vancouver, un petit restaurant du centre-ville se spécialise dans le tonkatsu, une recette de porc pané frit très populaire au Japon. Depuis son ouverture, Saku vole presque la vedette aux autres restaurants japonais de la ville, qui ne manquent pourtant pas d’inventivité.
Le restaurant, hyper spécialisé, ne sert rien d’autre que du tonkatsu et trois de ses variantes. Cette comfort food par excellence (avant d’être placée dans la friture, la viande mijote pendant 18 heures) n’est qu’en partie responsable de la renommée du restaurant. On s’y arrête pour son design intérieur, qui mélange inspirations japonaises et ambiance rétro façon diner américain dans une palette de tons clairs. Surtout son incontournable façade en cèdre fascine et, quand le temps le permet, sa petite terrasse, est parfaite pour un dîner à deux.
View this post on Instagram
View this post on Instagram
View this post on Instagram
View this post on Instagram
Saku
1773 Robson St, Vancouver
+1 778-379-5872
www.sakuvancouver.comLES PLUS POPULAIRES
-
« C’est un plaisir sincère que mes objets soient reconnus comme appartenant au cercle du Mingei »
Les couverts de laiton soigneusement façonnés par Ruka Kikuchi dans son atelier de Setouchi sont appréciés dans tout le Japon et ailleurs.
-
« Le Mingei reste toujours insaisissable, cent ans après sa naissance »
Sō Sakamoto est un potier d’Onta-yaki, une forme de céramique datant du XVIIIe siècle mise en avant par Sōetsu Yanagi, fondateur du Mingei.
-
« On dit souvent qu’il faut apprendre de ses échecs… mais est-ce vraiment si simple ? »
Dans “Guide de survie en société d'un anti-conformiste”, l'auteur Satoshi Ogawa partage ses stratégies pour affronter le quotidien.
-
Du Japon vers le monde, des photographes appelés à s’imposer à l’international
Le T3 PHOTO FESTIVAL 2025 expose cinq photographes japonais émergents et confirmés, afin de soutenir leur rayonnement à l’étranger.
-
“Le Japon interdit”, l'oeil d’Irina Ionesco
Dans cet ouvrage, la photographe va au plus près des corps, révélant ceux, tatoués, de “yakuza” ou celui, érotisé, d'une artiste underground.



