Les couverts de Rieko Fujimoto sont faits pour durer
View this post on Instagram
Dans son atelier situé au cœur de la tranquille ville de Neyagawa, Rieko Fujimoto travaille l’aluminium et le laiton. Diplômée de l’université des arts d’Osaka, la jeune femme a œuvré un temps au dessin des collections d’un petit fabricant d’ustensiles de cuisine, puis s’est formé auprès de Shigeru Terachi, maître dans l’art du Tankin, technique traditionnelle de martelage du métal.
Désormais à la tête de son propre atelier, Fujimoto se consacre essentiellement au design de couverts. D’ailleurs certains de ses instruments datent de l’époque d’Edo et lui ont été offerts par les artisans auprès desquels elle a fait son apprentissage, et c’est grâce à cet outillage élémentaire qu’elle donne à ses pièces une forme fonctionnelle conçue pour résister au temps. Sa marque de fabrique ? La fausse simplicité, comme élégance ultime.
View this post on Instagram
View this post on Instagram
View this post on Instagram
View this post on Instagram
View this post on Instagram
LES PLUS POPULAIRES
-
Araki nous explique lui-même ses chefs-d’œuvre qui ont marqué l’histoire
Le photographe japonais Nobuyoshi Araki prend des photos depuis plus d'un demi-siècle, abordant sans cesse de nouveaux thèmes et techniques.
-
“Buto”, la danse des ténèbres révolutionnaire
Né dans un contexte d’après-guerre rythmé par des mouvements contestataires, cet art subversif rejette les codes artistiques traditionnels.
-
Les hommes de bois de Nagato Iwasaki
Dans sa série “Torso”, l'artiste sculpte des statues d’hommes et femmes à partir de bois flotté, qu’il place ensuite dans la nature.
-
Namio Harukawa, maître du dessin SM
“Garden of Domina” offre une plongée dans l’univers d'une icône de l'“oshiri”, dont l’œuvre a aujourd’hui atteint le monde entier.
-
Ryo Fukui — Redécouverte d’une légende du jazz japonais
La discographie du pianiste a été rééditée à la demande du public, illustrant un regain d'intérêt pour ce genre musical au sein de l'archipel.



