Les trésors d’Edo et Tokyo se dévoilent dans deux vidéos du Projet Edo-Tokyo Kirari
Certains savoir-faire datant de l’époque Edo sont encore pratiqués aujourd’hui par des entreprises tokyoïtes, réunies au sein de ce projet.
Le “Projet Edo-Tokyo Kirari” a pour but de soutenir les entreprises qui innovent et déploient leurs activités dans le Japon d’aujourd’hui en conservant les techniques qu’elles ont hérité de l’époque Edo. À ce jour, 22 entreprises modèles y participent et transmettent ainsi la beauté et les mérites de ces marques emblématiques de Tokyo, tant au niveau national qu’international.
Le projet existe maintenant depuis cinq ans et deux courtes vidéos ont été réalisées afin d’en présenter les concepts. La première, nommée Grace, offre à voir de magnifiques produits qui n’ont cessé d’évoluer avec le temps tout en préservant l’esthétisme de l’époque Edo. La deuxième est intitulée Craft et met en valeur le travail et le savoir-faire artisanal qui s’est transmis de génération en génération.
Tout le charme de ces “Trésors de Tokyo” y est résumé en 30 secondes à peine.
La boutique en ligne Edo Tokyo Kirari
www.store.kirari.metro.tokyo.lg.jp/language/fr/currency/EURLES PLUS POPULAIRES
-
Six films japonais incontournables en un coffret
L’association Hanabi a réuni quelques-uns des meilleurs films japonais sortis ces dernières années dans un écrin collector.
-
Kanji Hama, fier représentant de la teinture à l'indigo
L'artisan est l’un des derniers Japonais à réaliser à la main et à appliquer cette teinture, selon la technique ancienne du “katazome”.
-
La prison comme antidote à la solitude des femmes âgées
La photoreporter Shiho Fukada met en lumière les seniors japonaises qui tentent d’échapper à la solitude en se faisant incarcérer.
-
“Vivre au Japon”, l’architecture japonaise à la loupe
Dans cet ouvrage, le lecteur est invité à l'intérieur des demeures les plus diverses dont les auteurs décryptent les détails architecturaux.
-
“The Tokyoiter”, un double hommage
Ce collectif propose à des illustrateurs de représenter la capitale japonaise en adaptant le style des couvertures de “The New Yorker”.