SHAQUDA, des pinceaux en héritage
Cette enseigne propose des brosses et pinceaux faits main selon des techniques héritées de l’ère Edo mais au design minimaliste contemporain.

© SHAQUDA
Nettoyer, exfolier, maquiller… Les brosses et pinceaux de l’enseigne nippone SHAQUDA ont chacun une fonction particulière, rendue possible grâce à leur forme et au type et à la densité de poils, naturels ou synthétiques, sélectionnés pour les confectionner.
Ces produits sont fabriqués à la main par des artisans de la région de Kumano, à l’est de Hiroshima, réputée dans tout l’archipel depuis l’ère Edo (1603-1868) pour ses fabriques de pinceaux. SHAQUDA y a donc installé ses ateliers afin de perpétuer ces savoir-faire séculaires. Tout en y apportant une touche contemporaine, notamment leur design aux courbes douces et minimalistes. Chaque brosse ou pinceau est conçu sur une même base : du bois de noyer, sur lequel est ensuite fixé des poils tantôt naturels de chèvre, cheval, écureuil, tantôt synthétiques.
Des brosses aux multiples vertus
Si l’on pense immédiatement aux pinceaux de maquillage, SHAQUDA confectionne également des brosses de massage pour le visage mais aussi pour le corps. La marque a ainsi développé des protocoles de sélection des types de poils pour leurs différentes vertus, nettoyantes ou exfoliantes. Des objets délicats qui permettent de profiter, hors de l’archipel, des bienfaits du bain japonais.
En Europe, les produits de SHAQUDA sont à retrouver sur l’e-shop Bijo.

© SHAQUDA

© SHAQUDA

© SHAQUDA

© SHAQUDA

© SHAQUDA

© SHAQUDA

© SHAQUDA
LES PLUS POPULAIRES
-
« C’est un plaisir sincère que mes objets soient reconnus comme appartenant au cercle du Mingei »
Les couverts de laiton soigneusement façonnés par Ruka Kikuchi dans son atelier de Setouchi sont appréciés dans tout le Japon et ailleurs.
-
« Le Mingei reste toujours insaisissable, cent ans après sa naissance »
Sō Sakamoto est un potier d’Onta-yaki, une forme de céramique datant du XVIIIe siècle mise en avant par Sōetsu Yanagi, fondateur du Mingei.
-
« On dit souvent qu’il faut apprendre de ses échecs… mais est-ce vraiment si simple ? »
Dans “Guide de survie en société d'un anti-conformiste”, l'auteur Satoshi Ogawa partage ses stratégies pour affronter le quotidien.
-
Du Japon vers le monde, des photographes appelés à s’imposer à l’international
Le T3 PHOTO FESTIVAL 2025 expose cinq photographes japonais émergents et confirmés, afin de soutenir leur rayonnement à l’étranger.
-
“Le Japon interdit”, l'oeil d’Irina Ionesco
Dans cet ouvrage, la photographe va au plus près des corps, révélant ceux, tatoués, de “yakuza” ou celui, érotisé, d'une artiste underground.



