Le Breizh Café, restaurant breton né au Japon
Crêpes roulées telles des maki ou au sucre noir d'Okinawa sont au menu de la crêperie qui a connu ses premiers succès au Japon.

Courtesy of Breizh Café
Originaires de Bretagne, les crêpes et les galettes sont aussi populaires au Japon. Ouverte à Cancale puis à Saint-Malo, Paris et au Japon avec pas moins de neuf adresses dont cinq rien qu’à Tokyo, la chaîne de crêperies Breizh Café choisit des ingrédients locaux avec soin et ajoute une touche de fantaisie à des recettes classiques.
Des crêpes à la gastronomie japonaise
Imaginé par le restaurateur Bertrand Larcher en 1995, ce concept de crêperie fait un pont entre la Bretagne et le Japon. Le premier établissement, alors appelé Le Bretagne, ouvre à Tokyo en 1996. Breizh Café, qui compte depuis neuf enseignes japonaises, jongle entre les deux pays jusqu’au cœur de ses restaurants où caves à cidre et à saké accompagnent les Breizh Rolls. Ces galettes 100% sarrasin sont découpées et servies comme des maki, et côtoient une sélection de crêpes “autrement” au menu, comme une gourmandise au sucre noir d’Okinawa et glace matcha.
En perpétuelle évolution culinaire, le Breizh Café de Cancale a gagné un étage dédié à un restaurant gastronomique japonais nommé La Table de Breizh Café. Derrière les fourneaux de la cuisine ouverte, le chef Fumio Kudaka, originaire de Hokkaido, ne manie pas la billig mais les casseroles pour partager les saveurs japonaises aux Bretons et visiteurs de passage.
Plus d’informations sur le Breizh Café sur le site internet de la chaîne.

Courtesy of Breizh Café

Courtesy of Breizh Café

Courtesy of Breizh Café

Courtesy of Breizh Café

Courtesy of Breizh Café
LES PLUS POPULAIRES
-
Araki nous explique lui-même ses chefs-d’œuvre qui ont marqué l’histoire
Le photographe japonais Nobuyoshi Araki prend des photos depuis plus d'un demi-siècle, abordant sans cesse de nouveaux thèmes et techniques.
-
“Buto”, la danse des ténèbres révolutionnaire
Né dans un contexte d’après-guerre rythmé par des mouvements contestataires, cet art subversif rejette les codes artistiques traditionnels.
-
Les hommes de bois de Nagato Iwasaki
Dans sa série “Torso”, l'artiste sculpte des statues d’hommes et femmes à partir de bois flotté, qu’il place ensuite dans la nature.
-
Namio Harukawa, maître du dessin SM
“Garden of Domina” offre une plongée dans l’univers d'une icône de l'“oshiri”, dont l’œuvre a aujourd’hui atteint le monde entier.
-
Ryo Fukui — Redécouverte d’une légende du jazz japonais
La discographie du pianiste a été rééditée à la demande du public, illustrant un regain d'intérêt pour ce genre musical au sein de l'archipel.



