KOZUE, un gin au pin parasol
La brasserie Nakano, située dans les montagnes de Wakayama, a imaginé un alcool dont la base aromatique est dominée par le “komayaki”.
© NAKANO.BC
Un nez résineux et poivré, un palais d’agrumes et de conifères (baies de genièvre et aiguilles de pin)… Comme son nom ne saurait l’indiquer, Nakano BC produit des spiritueux. La brasserie-distillerie artisanale est notamment renommée pour son vin de prune vieilli trois ans en fût.
Frôler les cimes
Nichée au cœur de la région montagneuse de Wakayama, l’entreprise se targue de produire le premier gin dont la base aromatique est dominée par le komayaki (pin parasol japonais).
Lancé le 1er novembre 2018 et initialement produit à 100 bouteilles, le KOZUE est, à ce jour, exclusivement distribué au Japon. Le terme kozue désignant la pointe de l’arbre, nul doute que la qualité du breuvage atteigne la canopée.
Plus d’informations sur le gin KOZUE sur le site internet de Nakano BC (seulement en japonais).

© NAKANO.BC

© NAKANO.BC
LES PLUS POPULAIRES
-
« C’est un plaisir sincère que mes objets soient reconnus comme appartenant au cercle du Mingei »
Les couverts de laiton soigneusement façonnés par Ruka Kikuchi dans son atelier de Setouchi sont appréciés dans tout le Japon et ailleurs.
-
« Le Mingei reste toujours insaisissable, cent ans après sa naissance »
Sō Sakamoto est un potier d’Onta-yaki, une forme de céramique datant du XVIIIe siècle mise en avant par Sōetsu Yanagi, fondateur du Mingei.
-
« On dit souvent qu’il faut apprendre de ses échecs… mais est-ce vraiment si simple ? »
Dans “Guide de survie en société d'un anti-conformiste”, l'auteur Satoshi Ogawa partage ses stratégies pour affronter le quotidien.
-
Du Japon vers le monde, des photographes appelés à s’imposer à l’international
Le T3 PHOTO FESTIVAL 2025 expose cinq photographes japonais émergents et confirmés, afin de soutenir leur rayonnement à l’étranger.
-
“Le Japon interdit”, l'oeil d’Irina Ionesco
Dans cet ouvrage, la photographe va au plus près des corps, révélant ceux, tatoués, de “yakuza” ou celui, érotisé, d'une artiste underground.



