Chez Henry’s Burger, les steaks sont au bœuf “wagyu”
Dans ce restaurant d'apparence très simple, les burgers sont élaborés à partir de viande primée et prisée des belles tables.
© HENRY’S BURGER Daikanyama
Chez Henry’s Burger, un petit restaurant de quartier à la devanture sans chichis situé dans le quartier branché de Daikanyama, le menu va à l’essentiel. Il ne comporte que trois options : un hamburger (simple, double ou triple), une boisson et une frite. Pourtant, on s’y presse de toutes parts car la qualité de la viande de boeuf wagyu y est extrêmement réputée.
Une viande bien sourcée et une découpe soignée
La raison : le chef, qui est aussi aux commandes du restaurant spécialisé dans le boeuf wagyu Sumibiyakiniku Nakahara, récupère les chutes de viande qu’il n’utilise pas dans son autre établissement pour élaborer les steaks hachés de Henry’s Burger. Il soigne également la découpe, choisissant de ne pas hacher le produit trop menu pour en conserver la saveur. Le reste de la recette est très simple pour mettre en valeur le goût : salade, cheddar et pain brioché.
Plus d’informations sur Henry’s Burger sur le compte Instagram du restaurant.
© HENRY’S BURGER Daikanyama
© HENRY’S BURGER Daikanyama
© HENRY’S BURGER Daikanyama
LES PLUS POPULAIRES
-
“Buto”, la danse des ténèbres révolutionnaire
Né dans un contexte d’après-guerre rythmé par des mouvements contestataires, cet art subversif rejette les codes artistiques traditionnels.
-
La tradition des œufs noirs du volcan de Hakone
Dans la vallée volcanique de Owakudani, de curieux œufs noirs aux vertus bienfaisantes sont cuits dans les eaux sulfuriques.
-
Jinbocho, le quartier des libraires de Tokyo
Les environs de Chiyoda-ku sont réputés pour leurs librairies d'occasion, maisons d'édition et autres curieux antiquaires.
-
Les plats alléchants des films du Studio Ghibli sont bien plus que des détails
La nourriture, souvent inspirée de recettes appréciées des réalisateurs, est un élément majeur de l'intrigue de ces films d'animation.
-
Le bondage fait art par Hajime Kinoko
L'artiste transcende la pratique du “shibari” dans des oeuvres où les fils et non plus les corps prennent la vedette.