Kimonoya, vêtements et objets d’exception en plein coeur de Paris
La plus vieille boutique d'artisanat japonais de la capitale propose un éventail de produits chinés au Japon par la styliste Machi Kojima.

© Kimonoya
Fondée en 1981 par la styliste japonaise Machi Kojima et l’architecte d’intérieur Gérald Ménager, cette boutique à l’importante devanture verte et aux vitrines thématiques se consacre aux kimonos authentiques, à l’artisanat nippon et aux arts traditionnels.
Comme son nom l’indique, Kimonoya fait essentiellement la promotion des vêtements conventionnels japonais, les kimono (« chose à porter »), yukata (« vêtement de bain ») et haori (une veste qui tombe sur les hanches ou jusqu’aux genoux). Cette adresse, qui est une référence dans son domaine, est aussi le plus ancien magasin d’artisanat nippon de la capitale française.
Tissus au mètre, pique-fleurs et lanternes
Des vases pour l’ikebana (l’art japonais de la composition florale) aux services à saké en passant par des pinceaux de maquillage utilisés pour le kabuki (une forme épique de théâtre traditionnel japonais), Kimonoya recèle d’articles uniques grâce à Machi Kojima. Pour enrichir son échoppe, la propriétaire des lieux rapporte chaque année un large choix d’objets chinés aux quatre coins du Japon. « Vous trouverez mille idées de cadeaux originaux et raffinés pour vous et vos amis », promet le site internet. Ainsi, des passionnés ou des curieux venant de tous horizons se croisent afin de trouver le produit d’exception.
Plus d’informations sur Kimonoya sur le site internet du magasin.

© Kimonoya

© Kimonoya
LES PLUS POPULAIRES
-
Makoto Fujiwara, carrière de pierres
L’ouvrage “Stone and Makoto” retrace le parcours du sculpteur dans une série de 90 photos, agrémentées de témoignages de l’artiste.
-
AD VOYAGESAwaji, la « Première île » du Japon offre un avant-goût gourmet d’un avenir durable
Cette île abrite le plus ancien sanctuaire du Japon, un paradis gastronomique et une référence en matière de durabilité agricole.
-
Mokuren, des couteaux japonais pour tous
Imaginés par Elise Fouin et le coutelier Yutaka Yazaki, ces ustensiles s’adaptent au marché européen sans sacrifier à la technicité nippone.
-
La recette de “shijimi-jiru” de “La Cantine de Minuit”
Cette soupe de coquillages est recommandée par le tenancier du restaurant nocturne du manga pour lutter contre fatigue et gueule de bois.
-
Trouver l'inspiration ailleurs avec Teruo Kurosaki
Cet entrepreneur, qui a introduit Philippe Starck au Japon, a longtemps voyagé avant de lancer sa marque de mobilier IDÉE.